Confiné-e-s mais inpiré-e-s !
En attendant le « jour d’après », continuons à échanger, à réfléchir et à débattre pour que l’expérience exceptionnelle que nous vivons ne reste pas sans lendemain et, pour reprendre l’expression de Abdennour Bidar, et nous engage à « réparer ensemble le tissu déchiré du monde ».
En quatrième semaine de cette publication démarrée le 5 avril, nous versons au débat 3 nouvelles contributions, très différentes sur le fond et sur la forme :
- « Ce qui nous arrive pourrait se produire avec la crise climatique », par Cyril Dion (réalisateur et écrivain). L’auteur du film documentaire « Demain » livre dans une interview au journal Le Monde sa manière d’envisager la suite de la crise du coronavirus > Lire l’article
- « Cette crise nous pousse à nous interroger » par Edgar Morin (sociologue et philosophe). Dans un entretien au quotidien Le Monde, Edgar Morin estime que la course à la rentabilité comme les carences dans notre mode de pensée sont responsables d'innombrables désastres humains causés par la pandémie de Covid-19. > Lire l’article
- Fridays for Future publie une vidéo choc intitulée « Notre maison est en feu ». L’association portée par la jeune Greta Thunberg alerte sur le dérèglement écologique : son dernier déocumentaire post-crise du coronavirus tire la sonnette d’alarme et dénonce un aveuglement collectif sur les questions d’environnement. > Lire l’article
N’hésitez pas à nous envoyer d’autres propositions, glanées dans vos lectures ou rencontres (à distance) durant vos semaines de confinement, qui ont éveillé votre intérêt et que vous souhaitez partager. Une seule adresse : Contact MJC
Les auteurs déjà publiés : Bruno Latour (« Imaginer les gestes barrières contre le retour à la production d’avant-crise »), Maxime Combes (« Ne revenons pas à la normalité »), Michel Wieviorka (« Les jours heureux sont pour demain »), Chris Morin Eitner (« Il était une fois demain »), Camille Ferey (« Le monde du coronavirus est-il vraiment un mode de héros et de vilains ? »), Michael Foessel (« Nous ne reviendrons pas à la normalité parce que la normalité était le problème »), Isabelle Autissier et le WWF (« Appel pour un filet de sécurité »), Abdennour Bidar (« Nous étions déjà enfermés mais nous ne le savions pas »)