L'ATELIER
L'atelier s'adresse à toutes les personnes désireuses d'explorer le jeu et ce peu importe qu'elles soient novices ou aient déjà fait du théâtre auparavant.
A travers cet atelier, on cherchera à explorer le pouvoir des mouvements, le pouvoir de la parole et de l'espace scénique. On cherchera à exister seul.e sur scène mais aussi à porter une parole collective à travers différents exercices.
« Je vois cet atelier comme un laboratoire de recherche ou chaque participant.e est libre d'explorer ses émotions et de partager un vécu personnel sans pour autant exclure la notion d'ensemble. En tant qu'intervenante, je ne détiens pas de savoir absolu, on apprendra les un.es des autres au fur et à mesure. Mon travail ici et de créer un espace safe et ludique dans lequel nous pourrons tous.tes avancer et performer. Je fournis le cadre mais ce qui aura à l'intérieur dépendra du groupe en lui-même et de ce qui en sort » (Mathilde Guy)
Sous réserve de l’accord des personnes qui constituent l'atelier, sera travaillée une forme de rendu dans le but d'une représentation finale.
Le groupe définitif de participant.es se constitue à l’issue de la première séance !
Attention, atelier programmé sur 15 séances annuelles ! Calendrier des séances bientôt disponible en cliquant ICI.
PUBLIC(S)
Adultes
JOUR(S) ET HORAIRE(S)
Le vendredi 19h45-22h45 (15 séances annuelles). Première séance le 27 septembre, sous réserve d’un effectif suffisant
JAUGE MAXI
15 places
TARIF(S)
De 153 à 307 € / an
LIEU(X) DE PRATIQUE
Espace Roguet
LES INTERVENANT-E-S
Mathilde Guy commence à étudier la scène en Bretagne et après un bac option théâtre elle se lance dans les grandes théories de l'art avec une prépa littéraire. Là elle écrit pour la scène et découvre la poésie et publie par la suite son premier recueil : Les pérégrinations mauves. C'est après qu'elle déménage à Toulouse et obtient une licence de théâtre et de mise en scène. Elle se professionnalise en tant que comédienne et multiplie les performances. Puis, elle écrit et joue son premier seule en scène « A quoi bon les poètes ? », une pièce dans laquelle elle tente de replacer la poésie au cœur du quotidien et du travail théâtral. Poétesse avant tout chose, elle cherche toujours le lien entre les mots et les corps, la jonction entre le physique et le parler. Convaincue que le théâtre ne possède pas de vérité absolue, elle cherche à travers différentes pratiques artistiques, comme la danse contemporaine et l’art plastique, à relier plusieurs univers ensemble dans le but de créer un théâtre unique en son genre.